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Mémoires Slowheat 2024 (et antérieurs)

Des étudiants fêtent leur diplôme

L’été, c’est la saison des mémoires d’étudiants. En voici une sélection de cette année, et quelques plus anciens.

 

1/

Le travail de Loïc Lieutenant, fraîchement diplômé ingénieur civil à l’UCLouvain, porte sur le potentiel du slowheating dans des kot étudiants à Louvain-la-Neuve. Il montre par l’expérience des résultats assez proches de ceux constatés dans d’autres types de logements : une température d’équilibre autour de 15°C, et 30 à 50% d’économie d’énergie. Avec en prime une généralisation sur d’autres types de kot et des études de sensibilité par simulation thermique. De quoi convaincre le service logement de l’université ?

 

 

2/

Toujours à l’UCLouvain, et en association avec le précédent, Marie Stas a réalisé un mémoire en communication. Sur base d’interviews, elle s’intéresse aux arguments, leviers et les freins, contre-arguments, et obstacles à l'implémentation du slowheating chez les étudiants. Le travail se conclut par une proposition de campagne de communication et une liste de recommandations à l'attention de l'université.

 

 

3/

Un peu plus ancien, le mémoire d’architecture d’Astrid Siraut (2020). Réalisé au démarrage du projet Slowheat, ce travail théorique et de projet explore l’idée d’une école sans chauffage. Quand la sobriété croise la pédagogie.

 

 

4/

Enfin, celui d’Emelyne Joris, ingénieure civile architecte (2022), qui se concentre plus directement sur les systèmes de chauffage individuels. Elle a mis sur pied une expérience pour en tester



les limites en conditions de travail réelles. Assez peu de données quantitatives, mais un design de recherche à reproduire.

 

 

D’autres ont été ou seront présentés prochainement, mais ne sont pas (encore) accessibles en ligne. A suivre donc dans quelques semaines.

 

 

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